À la recherche du PC perdu

Quand j’étais adolescent, j’aurais tout donné pour avoir un PC. Bon pour être honnête à l’époque, ce n’était pas pour aller sur internet voir des films cochons. Je n’ai eu internet qu’à 17 ans. Oui j’ai survécu sans, mais je peux vous dire que j’en ai chié par moment, surtout pour les exposés ou pour voir les solutions de jeux vidéo. Mais bon on achetait les jeux sur CD et on les installait. La vache, je viens de prendre un de ces coups de vieux, c’est violent.

Jusqu’à mon PC actuel, j’avais toujours pris que des PC de magasin, et pas toujours avec des bons composants. Ce qui est assez stupide quand on pense que j’étais étudiant en informatique. *tousse* Puis en 2017 je me suis décidé à monter enfin mon PC actuel. En plein crise des cryptomonnaies. Vous savez, quand les cartes graphiques et les RAM coûtaient un bras. Pour être honnête, les cartes graphiques c’est toujours la merde. Je crois que je m’en étais sorti pour 700 ou 800, dont 330€ pour la Geforce 1060 6Go. J’ai encore mal rien que d’y penser.

J’ai commencé à acheter les éléments de mon nouveau PC en novembre, en m’aidant pas mal du Black Friday :
Processeur : Ryzen 7 5700 X (155€)
Carte Mère : Gigabite B550 Aorus Elite 2 (120€)
Ventirad : Coolmaster Hyper H412R (28€)
RAM : Corsair Vengeance 2*8Go 3200 Hz (39€)
Alimentation : Seasonic Focus 750 W Gold (95€)
Et derechef, reste la carte graphique (je garde le boitier de mon ancien PC), et je soupire en voyant les prix. Surtout chez Nvidia. Dans un premier temps je vais la Radeon 7600 puis ils ont annoncé la XT et je me demande si je devrais pas prendre la 6750 XT à la place. Bref je prendrai la carte qui sera la première à un prix décent. Parce qu’il faut pas déconner.

Je sais pas vraiment pourquoi j’écris ça, peut-être parce que j’avais rien écrit sur mon blog pour le mois de janvier. J’ai pas vraiment de conseil dans l’achat des composants PC, le mieux c’est de tout comparer et de chercher la moindre offre sur des sites comme Dealabs. Ou d’essayer de les gagner sur Twitter, mais bon j’ai jamais rien gagné. Je me suis aussi pas mal basé sur les configurations de Canard PC. En tout cas bon courage.

Et de 11 !

Oui, bon c’était hier, mais on n’est pas à un jour près. Même si j’avoue que je n’écris plus tellement sur le blog. Faut dire que ça va faire quelques années que je suis passé de l’écriture au dessin. Et aussi parce que j’ai la flemme de les mettre en ligne ici, surtout après qu’une partie de mes dessins soit passée à la trappe parce que l’hébergeur a rendu l’âme. Et puis pour être honnête, même s’il y a quand même de quoi écrire en terme d’actualité, j’ai plus le cœur de m’occuper de ça.

Je vais pas vous cacher que 2023 ne restera clairement pas comme l’une de mes meilleures années. Il y a eu pire, mais il y a clairement eu mieux. Mais bon je préfère pas rentrer dans les détails, surtout en cette période de fêtes, je pense que les gens ont plus envie de s’amuser que de se prendre le chou avec un dépressif.

Sinon dans les choses à noter, c’est mon passage de Twitter à Mastodon. Alors je vais toujours sur Twitter pour les dessins et les jeux concours (divulgâche, j’ai toujours rien gagné) mais en soit, je pourrais supprimer mes comptes, ça ne me manquerait pas, et je pense que je ne manquerais pas à grand monde. Et pour être honnête, j’ai la flemme d’aller sur Bluesky. Au bout d’un moment avoir 50 comptes ça ne m’intéresse pas des masses, parce qu’au final je ne vais pas aller sur certains endroits.

Pour en revenir à mon blog, le plus surprenant c’est que l’article le plus lu, c’est celui qui permet d’installer les jeux DS sur 3DS. L’article est assez vieux et il y a eu pas mal de mises à jour qui facilitent la chose, il faudrait que j’écrive un article dessus. Et surtout avec la fermeture de l’eshop, il y a deux ou trois choses qui peuvent être intéressantes à faire.

Quoiqu’il en soit, passez de bonnes fêtes de fin d’année, évitez de tomber malade et à l’année prochaine (quoique l’article de la saison automne d’anime devrait arriver avant la fin de l’année).

Instant Critique : Storyteller

Laissez-moi vous compter une histoire. C’est l’histoire d’un joueur qui allume sa console et joue. À vous d’écrire votre histoire.

Nom : Storyteller
Développeur : Daniel Benmergui (Argentine)
Éditeur : Annapura Interactive (États-Unis)
Support : PC et Switch
Date de sortie : 23 mars 2023

Comme d’habitude, je me fais influencer dans le choix des jeux par les streams que je regarde. Oui, je suis un homme. Mais pour le coup j’avoue que c’est probablement la pire chose à faire pour ce jeu. Parce que le voir en stream tue tout intérêt si l’on connaît déjà la réponse. Mais revenons d’abord au jeu en lui.

Dans Storyteller, votre but est à partir d’une phrase, de lieux et de personnages de créer une histoire sur quelques cases. Vous choisissez le lieu, placez vos personnages et voyez le résultat. À noter que le tactile fonctionne sur Switch, c’est pas un luxe. En soi, le jeu n’est pas difficile. Et si en plus vous avez eu le malheur comme moi d’avoir vu certaines réponses, ça ne va pas arranger les choses.

Pour les graphismes, on est sur quelque chose de relativement basique, juste les personnages qui s’animent quand on les place. La musique de fond est toujours la même, donc rien de spécial, mais on a quand même les bruitages quand on place un personnage. Il y a 13 pages avec 4 ou 5 histoires à écrire. Sachant qu’il y a parfois des éléments additionnels qui peuvent être demandés. Ajoutez à ça l’arrivée d’un personnage après avoir fini l’histoire qui donne l’occasion de raconter d’autres histoires et les défis à réaliser sans qu’on sache quelle histoire est la bonne. (Sans compter qu’il faut faire dans le bon ordre.) Mais dans le fond, le jeu n’est pas bien long. Comptez dans les 3/4 heures pour faire toutes les histoires.

Si vous voulez un petit jeu de réflexion pour passer le temps entre deux trajets, le jeu ira bien, comme l’est Boxboxboy par exemple. Mais le mieux c’est de le prendre en promotion, je l’avais touché à 10€ en solde, il finira par ressortir à un petit prix, à ce moment là, jetez vous dessus. Mais évitez d’aller voir les vidéos sur Youtube.

Duo, go home, you’re drunk !

Décidément, c’est une sale saison pour les oiseaux. Parce qu’après Twitter, c’est Duolingo qui part en vrille. Pour ceux qui ne connaissent pas Duolingo, il s’agit d’une plateforme pour apprendre des langues. J’avoue que je l’utilise depuis des années, mais là il a vraiment décidé de partir en couille. Alors je sais que l’argent c’est le nerf de la guerre, mais là ça se sent qu’ils essayent à tout prix de faire passer les gens en payant.

Jusqu’à présent vous étiez libres de faire autant d’erreur que vous le vouliez, et c’est une chose normale quand on apprend. Sauf que depuis quelques temps sur l’application mobile, vous étiez limités à 5 erreurs par jour. Avec la possibilité de pouvoir racheter des vies, mais avec une monnaie qui est loin d’être facile à avoir. Ou en payant pour avoir des vies illimitées. Mais bon pour peu que vous appreniez une langue compliquée (coucou l’allemand), vous allez perdre vos vies à la chaîne. Et bien sûr en début de semaine, ils l’ont étendu à la version web que j’utilise en temps normal. Alors j’ai essayé de continuer à faire mes cours d’italien/allemand, c’est juste pas possible. Parce qu’en plus les révisions ont également disparu.

Et je vous le donne en mille, j’ai vite abandonné. Et j’avoue que j’ai de moins en moins envie de continuer pour continuer. J’ai même eu envie de supprimer mon compte, alors que j’ai une chaîne de plus de 7 ans. Pour l’instant je fais juste les cours d’italien et quand ça me gavera j’arrêterai. Enfin je dis ça, j’ai tellement l’habitude que ça va être dur pour moi d’arrêter. Ou le temps que je trouve une alternative gratuite.

Putain, 10 ans…

10 ans que ce blog existe, qui l’eut cru. Et qui aurait cru que je continuerai à écrire dedans 10 ans plus tard. Bon, même si pour être honnête, je me forme un peu à essayer de publier quelque chose chaque mois, mais bon, le cœur y est nettement moins. Faut dire que je passe plus de temps à dessiner qu’à écrire maintenant et que j’ai un peu la flemme de mettre mes dessins sur mon blog, j’en ai 5 ou 6 par mois pourtant. Et puis j’en foire toujours un paquet.

Le plus triste c’est que même 10 ans après l’avoir commencé, j’ai l’impression que pas grand chose à changer pour moi. Je suis toujours un dépressif avec des tendances d’hikkikomori. « La vie est une chienne qui m’a pris pour son réverbère. » (Bon visiblement il y a Michaël Youn dans le texte.) Les confinements puis les injonctions à la vaccination ont eu raison de ma santé mentale, je me gratte au sang quand je suis stressé, j’ai des insomnies, ma voiture qui ne passe pas le contrôle technique, un 4e chat a disparu il y 2 mois. Tout va bien. Des fois j’ai juste envie de me planquer dans mon lit et de ne plus en sortir. J’ai plus de force, plus d’envie.

Enfin je pense que ce n’est pas votre souci, même si je suppose que la seule raison pour laquelle les gens viennent ici, c’est pour le guide d’installation de jeux DS sur 3DS. Alors que le truc est obsolète depuis un petit moment. Enfin disons qu’il y a mieux mais j’ai la flemme de faire un nouvel article. Il faudrait d’ailleurs je reprenne l’histoire que j’avais commencé il y a deux mois, qui fait je ne sais combien de paragraphes. Enfin…

Instant Souvenir : Dying Light

La nuit va bientôt arriver, et si vous voulez mon humble avis, il est peut-être temps de vous mettre à l’abri. À moins que vous ayez envie de tenter le diable.

Nom : Dying Light
Développeur : Techland (Pologne)
Éditeur : Warner Bros (États-Unis)
Support : PC, PS4 et Xbox One
Date de sortie : 26 février 2015

Oui, je sais, j’avais dit que j’en avais marre des jeux à monde ouvert. Mais bon vous croyez vraiment que je regarde le contenu des jeux que j’achète ? Plus sérieusement, le 2 est sorti en début d’année et je l’ai trouvé pour moins de 10€ dans le magasin d’occasion près de chez moi. Et puis je cherchais une excuse pour arrêter Dark Soul III après avoir battu le 2e boss (faut vraiment que j’y retourne ?).

Comme je le disais en ouverture, Dying Light est un jeu monde ouvert. Rempli de zombies. Et autant dire que ces saletés sont résistants, et quand vient la nuit, c’est encore pire. Ne pensez pas couper des zombies à la chaîne, mieux vaut au contraire fuir, et c’est là qu’entre en jeu l’élément le plus important du jeu : le parcours. À l’instar d’un Assassin’s Creed, vous pouvez monter un peu partout pour vous semer vos admirateurs. Bon, par contre, sur les petites surfaces, c’est le gadin assuré, surtout quand vous êtes poursuivis. Bien sûr, vous pouvez tenter d’occire les monstres (et les humains) à l’aide des différentes armes que vous trouverez et que vous aurez tout le loisir de customiser avec ce que vous avez à disposition. Mais si vous utilisez des armes à feu, apprêtez vous à courir, et vite. On va pas se mentir, on meurt beaucoup dans ce jeu, mais le jeu n’est pas trop radin sur les points de passage et même les dégâts sur les bosses sont conservés. Pas un luxe.

Je ne me suis pas encore intéressé à l’histoire du jeu. Vous incarnez Kyle Crane, un agent envoyé par une agence gouvernementale pour récupérer des papiers confidentiels dans la ville cosmopolite d’Harran. Il finit par collaborer avec certains survivants de la Tour en tant que traceur, dans le but de récupérer de quoi vivre et surtout de l’antizine qui permet de lutter contre la maladie. Bon bien sûr ça part en couille, mais il faut reconnaître que le scénario est intéressant à suivre. Après vous avez toutes les quêtes annexes, si certaines sont anecdotiques et vous demanderont de récolter des objets, d’autres sont narrées et sont l’occasion de découvrir des personnages assez hauts en couleur. De quoi souvent faire autre chose que l’histoire. Bon par contre, parfois faut une soluce parce que c’est mal expliqué.

Le jeu a beau avoir 7 ans, il passe encore très bien aujourd’hui, et la PS4 ne crache pas ses tripes en le faisant tourner (et oui, parfois c’est bien le signaler). On a un doublage français, il y a parfois des ratés et des doublons, mais elle passe bien, en particulier les voix de Crane et Raïs. Je sais même pas en combien de temps j’ai fini le jeu, faut dire que j’ai fait un peu tout et n’importe quoi et après je râlais parce que je n’avançais pas dans l’histoire.

Des retours que j’en ai eu, le 2 n’est pas spécialement bon, mais celui ci se défend honorablement. Après, faut avoir le temps de le faire, ça reste un jeu en monde ouvert, mais il ne coûte quasiment rien. Et puis bon ils ont offert des DLC, c’est toujours bon à prendre.

L’école des aventuriers (partie 50)

La nuit était quasiment tombée quand ils arrivèrent finalement à l’hôtel. « Pas mécontent d’être ici. soupira Lucas.
– Enfin maintenant je me méfie de la bouffe de ce restaurant. » pesta Romain. Sacha s’était installé dans un coin sans dire un mot. Lucas et Romain se regardèrent. « Il est comme ça depuis qu’on est passé chez Arès. » commenta Lucas. Romain voulut se diriger vers Sacha, mais Lucas le retint. « C’est pas une bonne idée. » Romain retourna s’installer dans un fauteuil. « Du coup, tu as décidé ce que tu voulais faire ? demanda Romain.
– Je réfléchis toujours, même si je suis à peu près sûr de savoir ce que tu as décidé. D’ailleurs comment vous vous êtes rencontrés Apollon et toi ? demanda Lucas.
– J’étais venu ici avec mes parents, c’est mon père qui me l’a présenté. » Lucas se retint de poser la question qui fâche. « Ne t’inquiète pas, il est juste « disparu ». Ça remonte déjà à quelques années. » Romain s’allongea à son tour dans un fauteuil et s’étira. « J’ai juste envie d’être dans mon lit.
– T’as qu’à aller te coucher alors. De toutes façons on repart demain à la première heure. répondit Lucas.
– Je crois que je vais rester ici. » fit Sacha. Lucas et Romain le regardèrent. « Bah pourquoi ?
– C’est juste que je veux aussi trouver ma voie. Je l’ai bien vu quand j’étais à l’école, j’avais tout sauf le niveau. Et puis je peux pas vivre éternellement chez toi Romain, même si je suis théoriquement ton jumeau. » Romain se gratta la tête. « Je connais peut-être quelqu’un qui pourra t’aider. Je l’ai déjà croisée quelque fois dans l’atelier d’Apollon. Il faudrait que je lui demande de te la présenter. » Sacha semblait perplexe à cette idée. « Après si tu as une meilleure idée, dis-le. » Sacha se mura une nouvelle fois dans le silence avant de se lever puis de sortir de la chambre. « Il vaut mieux le laisser. » fit Romain. Il prit son téléphone et commença à envoyer un message. « On verra bien. »

Sacha se dirigea sans trop le vouloir jusqu’au hall de l’hôtel puis se dirigea vers le salon. Il trouva rapidement un fauteuil vide et commença à regarder autour de lui. « Je doute que ce fusse le bon endroit pour un jeune homme comme toi. » fit une voix douce. Sacha se tourna et vit une belle femme qui se tenait dans un fauteuil voisin. « Je… Je… » la femme mit son doigt devant sa bouche. « Ne t’inquiète pas, je ne suis pas ici pour te juger. Nous sommes à Artes après tout. » Son téléphone se mit à sonner puis elle regarda le message qu’elle venait de recevoir. Elle éclata de rire en voyant le message puis répondit aussitôt. « Bien je suppose que nous allons devoir parler ensemble après mon cher Sacha, mais d’abord j’ai à faire. » Un homme arriva et la dame demanda à Sacha de laisser la place. « Ne t’en fais pas, ça ne sera pas long. » Sacha laissa sa place et l’homme la prit. Il sortit un livre de son sac et le posa sur la table devant la table. Celle-ci commença à examiner l’objet. « Je suis au regret de vous dire que c’est un faux. fit la femme au bout d’un moment.
– Vous plaisantez ? répondit l’homme. J’ai payé ce livre une véritable fortune. » Elle montra un coin du livre. « Vous voyez la bordure. Normalement elle fait un léger angle dans le coin, ce qui n’est pas le cas ici. » L’homme soupira. « Je suis désolé de vous apprendre une mauvaise nouvelle. » continua la femme. L’homme reprit le livre puis partit sans ajouter un mot. « Vous travaillez dans les livres ? demanda Sacha.
– Pas seulement. Disons que je suis commissaire-priseur. répondit la femme. Artes a beau être la ville des artisans, c’est aussi la ville des escrocs. » Elle fixa Sacha dans les yeux. « Bien, à nous deux. » Elle sortit une boîte et la posa sur la table. « Peux-tu me dire à quoi sert cette boîte ? » demanda t-elle. Sacha semblait surpris. « T’en fais pas, c’est juste un petit test. » Sacha se saisit de la boîte et commença à l’observer. « Je peux l’ouvrir ? demanda t-il.
– Vas-y, elle est vide de toutes façons. » Sacha l’ouvrit et commença à sentir à l’intérieur. « C’était des bonbons, non ? » La femme éclata de rire. « C’est la première fois que quelqu’un me répond un truc pareil. » Sacha se gratta la tête. « Désolé. s’excusa t-il.
– Tu n’as pas à t’excuser, parce que c’est ça ! » Sacha la regarda. « La plupart des gens ne pense pas un seul instant à sentir le contenu de la boîte. Et ceux qui le font ne peuvent pas imaginer qu’une dame puisse se promener avec une boîte de friandises dans sa poche. » Elle se leva puis partit en faisant un signe de la main.

Après quelques minutes, Sacha retourna dans la chambre de ses comparses. Quand il entra, il ne vit pas Romain. « Il est parti se coucher. répondit Lucas en le regardant. Il a passé près de vingt minutes au téléphone juste pour avoir un numéro. Et bien sûr, on ne lui a pas répondu. » Sacha se gratta la tête puis alla s’installer en face de Lucas. « Tu as fini de bouder ? demanda Lucas.
– Je suis désolé. » s’excusa Sacha. Lucas éclata de rire. « T’en fais pas, on a déjà Romain, donc on connaît, et lui ça peut être une vraie tête de mule quand il s’y met ! » Lucas s’étira les bras. « On devrait aller se coucher, le chemin de retour sera long demain. Même si je suis impatient de retrouver mon garage. » Ils entendirent quelqu’un frapper à la porte. Lucas et Sacha se regardèrent puis ce dernier alla ouvrir la porte. La dame qu’il avait croisé s’y trouvait. « Je vous prie de m’excuser. fit-elle en voyant Lucas dans le fauteuil. J’ai oublié de te donner ceci. » Elle tendit une carte de visite à Sacha. « N’hésite pas à m’appeler. » Elle les salua puis repartit, laissant béa Lucas. « Attends, c’est qui cette femme ? demanda t-il.
– C’est une dame que j’ai croisé dans le salon. Elle m’a demandé de lui dire ce que contenait une boîte. » Sacha regarda la carte. « Athéna ?
– Le nom de la déesse du savoir, non ? répondit Lucas.
– Peut-être, je ne sais pas.
– En tout cas elle est canon. Si j’étais pas. » Il se mit à tousser. « Non, ce n’est rien. » Lucas se leva et se dirigea vers la chambre. « On ferait mieux d’aller se coucher. » Sacha le regarda s’en aller en fronçant des sourcils.

À qui la faute ?

Ça y est, retour à la case « Pôle Emploi », je suppose que je ne peux pas vraiment y échapper, même si ça fait deux mois que je cherche du boulot, le fait est qu’avec mon CV je suis pas vraiment désirable. Enfin si, j’avais reçu un appel, mais bizarrement j’ai jamais été rappelé, à croire que certains ne savent pas lire. Comme je l’ai dit, je vais voir si je peux faire une formation auprès de Pôle Emploi, j’ai envoyé un mail hier à mon conseiller, mais je suppose que je vais devoir attendre quelques jours avant qu’il me réponde.

Je sais que Pôle Emploi n’est pas vraiment doué pour retrouver du travail au gens. En fait je me demande s’ils ont vraiment le temps pour ça avec le nombre de personnes dont doit s’occuper chaque agent, et ce même si le nombre de chômeurs commence à baisser (laissons le bénéfice du doute). Je crois qu’ils doivent d’abord s’occuper du plus important : l’indemnisation de ceux qui ont le droit à quelque chose, même si ça a bien diminué depuis la dernière réforme. Il ne faut pas oublier que ce sont que des hommes et des femmes qui généralement doivent s’occuper de personnes qui sont légèrement au bord du gouffre, mais bon, je suppose que pour certains planqués dans leur magnifique bureau, des chiffres ne sont pas violents.

En fait, si je voulais déverser ma bile sur certains personnes, je pense que je pourrais les trouver sans trop d’effort, j’ai une liste longue comme un bras, mais bon je vais éviter de m’attirer des emmerdes, j’ai encore besoin qu’on finance mes formations.

Je ne sais plus trop quoi écrire…

Ça fait un bout de temps que je n’avais pas écrit grand chose sur ce blog. Est-ce par flemme ? Un peu. Enfin disons que j’y pense puis j’oublie, c’est la, c’est la vie. Pardon, je me suis laissé emporté. Il faut dire que maintenant je dessine beaucoup, quoiqu’en ce moment j’ai de plus en plus de mal à avancer, alors si j’ai le malheur de commencer une partie de Civilization, c’est la fin. Surtout si pour perdre comme une grosse merde à cause de Genghis Kahn, mais ça c’est une autre histoire que je voudrais oublier.

Il faut vraiment que je continue mon histoire, même si je navigue toujours à vue dans ce domaine. Bon en fait, j’ai déjà commencé la partie suivante, mais c’est surtout que j’ai coupé parce que sinon la partie précédente aurait été trop longue. Pour être honnête, ça me déprime un peu de ne plus écrire comme à l’époque, faut dire que même quand j’étais au chômage je n’écrivais plus tellement.

En parlant de chômage, je vais m’y retrouver de nouveau, et vous vous doutez bien que c’est loin de me faire plaisir. Et forcément vous avez tout le monde qui vous dit « fais ci, fais ça ». Pour être honnête, ça me sort par les trous de nez. Alors oui, je sais que si je le voulais vraiment j’aurais aucun mal à trouver du boulot, mais rien que l’idée de devoir écrire une lettre de motivation et/ou envoyer mon CV me rend malade. Je sais pas trop d’où vient le traumatisme. Enfin si, je supporte pas de répondre à un appel téléphonique.

Quoiqu’il arrive à la fin de la semaine prochaine j’aurai deux semaines de vacances, je vais peut-être enfin me reposer (je ne devrais pas trop compter sur ça).

Bilan anime printemps 2019

Encore une saison qui s’achète, avec du très bon, et du moins bon. Mais bon, point par point.

Nouvelles séries

– L’Attaque des titans, saison 3-2 : Je vais être honnête, ça n’a pas le même goût quand on connaît l’histoire. Mais j’avoue que je ne sais pas trop ce que va donner la saison 4, déjà que le scénario part complètement dans un autre délire. Déjà qu’il y a comme une cassure au sein de cette saison. J’aime bien le début, nettement moins la fin.

– Bungou Stray Dogs saison 3 : Après 3 ans, les chiens errant refont leur retour avec les écrivains russes. Enfin il y a eu d’abord un petit interlude sur le passé de Chuuya et Dazai. Même si j’avoue que ça laisse un goût d’inachevé. Après pour la saison en elle même, c’est du bon, en particulier l’épisode avec Fitzgerald. Bref, on attend une saison 4, même si je sens que Foydor va pas rester longtemps en place.

– Sarazanmai : Dois-je encore parler de Sarazanmai après tout ce que j’ai écrit dessus ? Je vous renvoie vers l’article en question.

Anciennes séries

– Dororo : La déception. Oui, je suis déçu par la fin. Alors je sais que certains aiment bien, mais j’avoue que je trouve la fin illogique sur certains points, en particulier sur qui vit et qui meurt. Après c’est pas mauvais, mais ça aurait mérité une autre conclusion à mes yeux.

– Gegege no Kitarou : Pourquoi je regarde encore ça ? J’en sais rien. L’histoire n’avance pas des masses, il y en a peut-être encore pour une saison, mais il faut peut-être que j’arrête.

– Shinkalion : Ça par contre, c’est enfin fini, et c’est une bonne chose, même si la qualité s’améliore sur la fin. Enfin faut attendre le sub des derniers épiosdes.

La saison prochaine

– Dungeon ni Deai wo Motomeru no wa Machigatteiru Darou ka II : J’avais détesté le spin off, alors je sais pas si je vais le suivre ou attendre que ce soit fini pour commencer, mais bon. On verra comment je suis luné.

– Karakai Jouzu no Takagi-san saison 2 : Franchement, j’en attends rien, au moins je ne serai pas déçu comme pour la première saison, mais je suis bien content de revoir Nishikata.

– Toaru Kagaku no Accelerator : Cette fois-ci, je pense que je vais suivre directement, en même temps, il n’y a pas vraiment foule pour les animes de cette saison, donc c’est pas un souci.